Nos étoiles contraires (The fault in our stars) - John Green
Auteur : John Green
Edition : Nathan
Parution : 2013
Nombre de pages : 333
Résumé :
Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
Mon avis :
Cela faisait un
moment que ce livre était dans ma PAL, mais j’attendais la bonne période pour
le lire. J’avais dévoré (un peu trop rapidement) Qui est tu Alaska ? et La
face cachée de Margo alors je voulais savourer celui-ci pour atténuer le
sentiment post-coup de cœur. Vous savez, lorsque les livres que vous lisez par
la suite vous semblent fades voire mals écrits ! C’est avec le tappage médiatique de
l’adaptation au cinéma que je me suis décidée de le lire, un peu aussi par peur
de spoil.
J’ai accroché dès
les premières lignes. Le style fluide et l’humour noir de John Green sont
toujours au rendez-vous. J’ai apprécié de lire pour une fois un schéma un peu
différent qui caractérise ses romans :
Un adolescent un
peu looser – Un super pote ultra drôle – Une fille cool dont le héros est
amoureux et qui semble inaccessible – tout ça dans un lycée ou un pensionnat
Bien que j’adhère
totalement à tout ça, ça fait du bien de voir une héroïne et un cadre un peu
différent.
Le cancer est un sujet assez tabou, peut être
encore d’avantage dans les romans destinés à la jeunesse. Mais, malgré le thème
grave, le livre est tout de même truffé d’humour. Et bien que n’étant pas
concernée, je pense qu’il est assez représentatif de la vie d’un adolescent
malade. Enfin on nous sert un genre différent du fantastique, dystopique ou vie
d’adolescent lambda, et ça marche : le livre s’est vendu à plus d’un
million d’exemplaire dans le monde !
Comme cela avait
été le cas pour qui est tu Alaska ? J’ai rit et pleuré dans le même livre.
Je crois que je n’avais pas versé autant de larmes pour un roman depuis Harry
Potter et les reliques de la mort ! Mention particulière au magnifique
texte sur l’échelle de la douleur qui à lui seul a du me faire vider 1 paquet
de mouchoir !
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